L'amour pour la littérature
Pour écrire une bonne histoire d’amour, il est nécessaire d'avoir un narrateur. Comme toute écriture, pendant notre lecture nous devons apercevoir la vie dans toutes ses circonstances. Quand j'étudiais au lycée, je n’aimais pas la littérature. Pour moi, il y a sept ans déjà, ce n'était nécessaire d’avoir un amour pour les livres. Mais, tout a changé quand j’ai lu une autobiographie d’un journaliste américain. Après ça, j’ai découvert Dostoïevski, Sartre, et beaucoup d’autres. Donc, je ne lisais pas beaucoup quand j’étudiais. Jusqu’à mes dix-huit ans,le meilleur désir littéraire était de ne rien lire! Mais, après ce processus, il y avait toujours une voix dans ma tête qui disait: “Lis, lis, lis!”. Comme la névrose littéraire de Sartre, j’ai découvert que la littérature n’est pas une passion séparée du monde, comme une réalité divergente où il y a toujours l’amour, le bien et les bonnes choses. La littérature est aussi le monde avec toutes ses divergences et trébuches. Hier, j’ai vu une vidéo sur un tatoueur japonais, et il a dit que l’art shishei n’est pas seulement une réalité esthétique, mais une histoire spirituelle sur la mort et le temps. Jusqu’à la découverte du shisei par le tatouage occidental, le shisei était une méditation sur la mythologie et le monde spirituel. Il y a cinquante ans, les occidentaux ont fait l’art shishei perdre son sens méditatif. Donc, l’amour pour l’art n’est pas seulement un amour esthétique, mais aussi un amour pour toutes les ambiguïtés de la vie. Un vrai artiste c’est quelqu’un qui sent les pertes comme un symptôme de l’amour terrain. Depuis que nous apercevons ça, la vie perd son sens tragique comme quelque chose d'extérieur, et elle gagne l’amour pour, surtout, des pieds et des choses incomplètes que nous portons.
Soyez Chouette !